Résumé : Résumé : Après quinze ans de bons et loyaux services en tant que cadre très supérieur dans une usine de papier, Bruno D. se fait licencier avec quelques centaines de ses collègues pour cause de délocalisation. Trois années passent sans qu'il trouve un nouvel emploi. Il est maintenant prêt à tout pour retrouver un poste à son niveau, même à passer à l'offensive. Un pamphlet contre la société économique contemporaine : Costa-Gavras frappe là où ça fait mal pour faire réfléchir. Bonus : Making-of - Interviews de Costa-Gavras et José Garcia - Scènes coupées commentées par le réalisateur - Commentaire audio de Costa-Gavras - Storyboard commenté par le réalisateur - Filmographies.
Notre avis : Costa-Gavras signe une fable engagée d'un grand cynisme sur le monde du travail et offre son plus beau rôle à un José Garcia excellent. CD.
Notes : Prêt
Langue(s) parlée(s) : français
Format(s) Vidéo(s) : 16/9, 4/3, 1:85
Format(s) audio(s) : Dolby Digital 5.1, Dolby Digital 2.0
Tous publics
Il existe, à mon sens, cinq raisons majeures d'aller voir Le Couperet. L'intrigue implacable (...) L'interprétation neutre, blanche, inquiétante de José Garcia (...) La meilleure adaptation à ce jour d'un roman du grand Donald Westlake (...) La mise en scène précise et survoltée (...) Le culot du projet (...). - Elle - Elisabeth Quin - 02/03/2005
Pari gagné grâce à un José Garcia brillant. [...] Pour la performance de Garcia, son sujet oblique, et malgré quelques longueurs, on peut aller voir ce COUPERET sans hésiter. - Le Figaroscope - Guillaume Tion - 02/03/2005
Costa-Gavras (...) mène bien son jeu. Et José Garcia incarne à la perfection ce serial cHômeur killer.[...] Garcia arrive à rendre humaine cette folie, ces failles d'où surgissent doutes, peur glacée et tremblements. - Le Figaroscope - Emmanuelle Frois - 02/03/2005
Costa-Gavras est plus convaincant lorsqu'il esquisse un portrait à la Fritz Lang de son justicier fou [...] Outre le talent de José Garcia à camper ce personnage sans le rendre antipathique, on retrouve dans Le Couperet l'attachement de Costa-Gavras pour les histoires de famille. [...] - Le Monde - Jean-Luc Douin - 02/03/2005